
Votre budget courses vous fait voir rouge ? Découvrez 3 astuces imparables pour économiser 20% chaque mois.
En ces temps où chaque euro compte, vous ne rêvez que d’une chose : pouvoir remplir votre frigo et vos placards sans vider votre compte en banque. Mais entre les prix qui s’envolent, les tentations qui se multiplient et le temps qui manque pour jongler avec tout ça, pas facile de s’en sortir ! Pourtant, je peux vous l’assurer : il est possible de réduire significativement son budget courses, sans pour autant sacrifier la qualité ou le plaisir. Tout est une question d’organisation, de bonnes combines et d’un zeste de créativité ! Alors si vous êtes prêt à en finir avec les fins de mois difficiles et les placards vides, suivez le guide. Voici mes 3 conseils malins pour diminuer de 20% votre budget alimentation mensuel. Sceptique ? Laissez-moi vous prouver que c’est possible, pour peu qu’on se pose les bonnes questions !
Conseil n°1 : Mettez en place un plan d’attaque anti-gaspi et 100% efficace
Le premier réflexe à adopter pour optimiser son budget courses, c’est de mettre en place une stratégie d’achat imparable. Car oui, consommer malin, ça ne s’improvise pas ! Voici la méthode en 3 étapes pour vous concocter un plan anti-gaspi et pro-économies.
Étape 1 : Prenez 15 minutes pour faire l’inventaire de vos stocks
Avant même de mettre le nez dans un catalogue ou de foncer en magasin, prenez le temps de faire le point sur ce dont vous disposez déjà. Ouvrez vos placards, inspectez votre frigo et dressez la liste exhaustive des denrées encore consommables qu’ils renferment. Cet état des lieux vous évitera bien des achats hasardeux et des doublons !
En repérant les produits qui arrivent en fin de vie, vous pourrez aussi ajuster vos menus pour éviter tout gaspillage. Une excellente habitude pour réduire le volume de nourriture jetée… et les dépenses qui vont avec ! Selon l’Ademe, les foyers français gaspillent en moyenne 30kg d’aliments par personne et par an, dont 7kg d’aliments encore emballés. De quoi alléger significativement la note en réduisant le gâchis !
En appliquant ce réflexe zéro effort chaque semaine, vous pourriez économiser 5 à 10% sur vos courses, sans rien changer à votre façon de consommer. Plutôt futé non ?
Étape 2 : Étudiez vos habitudes alimentaires à la loupe
Maintenant que vous savez ce que vous avez, intéressez-vous à ce que vous mangez ! Car établir ses menus en fonction de ses envies, c’est bien, mais tenir compte de la réalité de sa consommation, c’est encore mieux pour maîtriser son budget.
Le mieux pour optimiser ses achats est de tenir un carnet pendant au moins 15 jours, en notant scrupuleusement tout ce qui entre et sort de votre cuisine. Ce journal de bord vous permettra d’identifier vos véritables besoins et habitudes alimentaires. Vous saurez ainsi quels produits vous consommez le plus, lesquels finissent souvent à la poubelle, quelles quantités vous utilisez réellement pour une recette…
Ces informations vous seront précieuses pour constituer des listes de courses cohérentes, en évitant les pièges des achats compulsifs ou inadaptés. Fini le chou-fleur solitaire qui se flétrit au fond du bac à légumes ! En adaptant vos emplettes au plus près de vos besoins réels, vous pourrez facilement diminuer la note de 10%.
Autre avantage non négligeable de cette petite étude de conso : mieux cerner vos habitudes vous aidera à repérer les postes sur lesquels des ajustements sont possibles. Par exemple, en réalisant que vous consommez bien plus de viande que nécessaire, vous saurez que c’est une piste à creuser pour faire des économies. À vous les astuces bon marché végétariennes !
Étape 3 : Préparez des menus malins et des listes de courses imparables
Dernière phase pour un plan d’attaque anti-gaspi au top : concoctez des menus futés pour la semaine ! En croisant les informations récoltées sur vos stocks et vos habitudes de consommation, vous avez toutes les cartes en main pour imaginer des repas équilibrés, gourmands et surtout bon marché.
Le but du jeu : faire simple et efficace, en privilégiant les plats rapides à réaliser, peu coûteux et faciles à accommoder avec les restes. Traquez aussi les recettes qui permettent de réutiliser des produits de base d’un repas à l’autre. Un sachet de riz peut ainsi se transformer en un clin d’œil en risotto, paëlla ou salade fraîcheur. Avec un peu d’imagination, vous réduirez le gaspillage sans lasser les papilles !
Sur la base de vos menus malins, établissez ensuite des listes de courses ultra-précises. Pas question d’avoir les yeux plus gros que le ventre ! Notez sur votre liste uniquement ce qui vous manque vraiment pour réaliser vos repas, dans les quantités dont vous avez besoin. Veillez aussi à regrouper les produits par type (frais, surgelés, épicerie…) pour organiser votre parcours magasin de façon méthode et rapide.
Avec une liste d’emplettes parfaitement optimisée, tenir le cap une fois en rayon deviendra un jeu d’enfant. Selon mes estimations, les consommateurs qui s’en tiennent à leur liste préétablie économisent en moyenne 15% sur le montant de leur ticket de caisse. Alors à vos caddies, et en route vers le remplissage stratégique et 100% maîtrisé !
Conseil n°2 : Devenez un pro du décodage d’étiquettes
Bravo, vous avez désormais un plan d’attaque en béton pour organiser vos sessions de ravitaillement ! Il est maintenant temps de partir à l’assaut des rayons, panier au bras et œil aiguisé. Car pour remplir votre caddie au meilleur coût, encore faut-il savoir décrypter les informations sibyllines que renferment les étiquettes des produits…
Pas de panique ! Avec quelques conseils malins, vous allez rapidement devenir un expert en décodage d’emballages. Vous pourrez ainsi faire vos courses en toute sérénité, sans vous faire berner par les pièges marketing qui parsèment les linéaires. Suivez le guide, on passe en mode « consomma(c)teur averti » !
Votre allié prix : comment bien le choisir
Premier réflexe à développer une fois en rayon : scrutez attentivement les étiquettes de prix. Votre objectif ? Trouver le meilleur rapport quantité/coût pour chaque produit. Car attention : le prix facial peut être trompeur !
Heureusement, une information capitale vous permet de comparer des produits présentés en format différent : le prix au kilo ou au litre. Présent obligatoirement sur les étiquettes, il indique combien vous coûteront 1kg ou 1L du produit considéré. Un outil simple et ultra efficace pour traquer les meilleures affaires !
Prenons un exemple concret. Vous hésitez entre un paquet de gâteaux A de 250g à 2€ et un paquet B de 300g à 2,50€ ? Utilisez le prix au kilo comme juge de paix ! Quelques calculs plus tard, votre verdict est sans appel : le paquet A revient à 8€/kg, contre seulement 8,33€/kg pour le B. Même en étant plus petit et moins cher au premier abord, le paquet A n’en reste pas moins 16% plus cher à quantité égale. Imparable !
En examinant systématiquement les étiquettes sous cet angle, vous allez rapidement repérer les références les plus avantageuses sur le long terme. De quoi faire gonfler votre pouvoir d’achat sans effort, tout en optimisant les quantités que vous achetez réellement. Le tout, sans céder aux sirènes du marketing ! Joli coup de filet anti-gaspi…
L’atout qualité-prix : misez sur les marques distributeurs
Autre bon plan pour dénicher les produits qui en ont sous le capot à moindre coût : laissez sa chance aux marques de distributeurs, alias les fameux MDD. Souvent négligées car jugées bas de gamme, elles sont pourtant d’excellents leviers pour concilier petit budget et qualité optimale !
Le secret de leurs prix mini ? Des emballages sans chichis, un minimum de dépenses marketing et des recettes simples mais efficaces. Des basiques qui peuvent vous faire économiser jusqu’à 50% sur certains produits, sans rogner sur la qualité. Car oui, la plupart des MDD s’approvisionnent auprès de fournisseurs triés sur le volet, avec des cahiers des charges stricts !
Concrètement, le cacao premier prix vient souvent de la même plantation que son cousin de marque, mais coûte jusqu’à 2 fois moins cher. Idem pour la confiture allégée MDD, le thon au naturel ou le pain de mie sans croûte. En troquant vos grandes marques fétiches contre leurs homologues discount, vous pourriez réduire la note de 25% en moyenne. Le tout en remplissant vos placards de denrées saines et savoureuses, issues des mêmes terroirs et filières d’approvisionnement !
Alors oubliez vos préjugés sur le bas de gamme, et partez à la conquête de ces pépites méconnues des linéaires. De belles découvertes vous attendent, votre porte-monnaie vous remerciera !
L’indice fraîcheur : bien comprendre les dates pour lutter contre le gaspillage
Vous avez désormais toutes les cartes en main pour repérer les produits à la fois bons, sains et pas chers. Dernière compétence anti-gaspi à acquérir : maîtriser la signification des différentes dates apposées sur les emballages. Car oui, toutes les mentions de durabilité ne sont pas équivalentes !
On distingue ainsi la Date Limite de Consommation (DLC), à ne surtout pas dépasser pour des questions de sécurité sanitaire, de la Date de Durabilité Minimale (DDM), qui n’est qu’indicative. Un produit dépassant sa DDM reste consommable sans risque, même si ses qualités peuvent être légèrement altérées. Autrement dit, vous pouvez sans crainte manger des biscuits, pâtes ou riz « périmés » depuis quelques mois, mais jetez illico tout yaourt ou jambon au-delà de sa DLC !
Moralité de l’histoire ? Choisissez en priorité des produits avec une DDM courte pour profiter des rabais en magasin, puis consommez-les sereinement après la date indiquée si leur aspect vous paraît correct. Vous réduirez ainsi le gaspillage tout en faisant de belles économies. En moyenne, un foyer français jette plus de 20kg de produits encore emballés chaque année. Soit une perte sèche évitable de 100€ par an et par personne, juste en surveillant mieux ses dates ! De quoi vous motiver à ouvrir l’oeil une fois en rayon non ?
Si vous mettez en application ces 3 réflexes de pro du décodage d’étiquettes, vous pourrez facilement réduire de 10 à 20% le montant de vos courses. Une économie substantielle, en plus de la fierté de remplir vos placards en mode malin et responsable !
Conseil n°3 : Repérez les promos vraiment avantageuses (sans tomber dans le panneau)
Alerte bon plan ! Si vous avez toutes les clés en main pour déjouer les pièges du marketing et repérer les produits les plus avantageux, un dernier levier s’offre à vous pour réduire la note : les promotions. Mais gare aux mirages ! Tous les « prix barrés » et autres « -50% » ne se valent pas… Voici mes astuces pour faire le tri entre les vraies et les fausses bonnes affaires.
Toutes les promos ne sont pas des aubaines
Faites le test : entrez dans n’importe quel supermarché, et observez le ballet des clients, catalogue de réductions en main. La plupart piochent allègrement les « produits stars » en Une, persuadés de faire l’affaire du siècle à chaque fois qu’une étiquette clignote. Pourtant, la vérité est nettement plus nuancée !
De la fausse remise camouflée en lot XXL au prix barré resté le même depuis des lustres, les techniques ne manquent pas pour brouiller les pistes. Résultat, on repart souvent avec un caddie bien rempli… mais pas forcément au meilleur prix ! Pour vous aider à démêler le vrai du faux, voici un petit guide de déminage des promos pièges.
L’offre « produit gratuit » : le miroir aux alouettes
« Pour 3 produits achetés, le 4ème est offert ! » Difficile de résister à cet argumentaire imparable. Pourtant, ces offres sont loin d’être aussi intéressantes qu’il n’y paraît. Avant de céder à la tentation du « gratuit », posez-vous les bonnes questions. Ai-je vraiment besoin d’autant de quantité de ce produit ? Serai-je capable de tout consommer avant la date de péremption ? Même si je fais une économie immédiate, le prix au kilo reste-t-il compétitif ?
Bien souvent, la réponse est non ! Ces offres concernent généralement des produits dont on n’a pas forcément l’utilité en grande quantité. Résultat, on en rachète trop, juste pour avoir le sentiment de faire une bonne affaire. Puis on stocke, on oublie et on finit par jeter. Tout bénef pour le supermarché, bien moins pour notre porte-monnaie… et l’environnement !
Moralité : ne cédez à ces offres « gratuites » que pour des produits que vous consommez régulièrement, dans des formats que vous êtes certains d’écouler. Sinon, passez votre chemin !
L’illusion des prix barrés
Autre grand classique en matière de miroir aux alouettes : le fameux « prix barré ». La plupart du temps, il s’agit en réalité d’un faux prix, artificiellement gonflé pour afficher une réduction alléchante. Un procédé autorisé par la loi, car le prix de référence peut être librement fixé par le magasin, sans nécessairement correspondre à un tarif réellement pratiqué auparavant.
Résultat, difficile de savoir si le produit est vraiment bradé ou non ! Pour en avoir le cœur net, fiez-vous davantage au prix au kilo qu’au pourcentage de remise affiché. Comparez aussi les tarifs avec ceux des autres magasins, en utilisant un comparateur en ligne par exemple. Avec un peu de pratique, vous repérerez vite les vrais bons plans des réductions factices.
Autre astuce : concentrez vos achats sur des produits que vous aviez de toute façon l’intention d’acheter. Pas question de succomber aux sirènes d’une promotion XXL sur un article dont vous n’avez pas besoin, aussi alléchant soit le prix ! Gardez en tête que même soldé à -70%, un produit non consommé reste 100% plus cher qu’un produit non acheté…
Les quantités gigantesques pas toujours si économiques
« Maxi format = mini prix ». L’équation semble logique : en achetant en gros conditionnement, on réalise forcément une meilleure affaire. Pourtant, ce n’est pas si simple ! Si les formats familiaux sont souvent plus avantageux, ce n’est pas une règle absolue. Il n’est pas rare de trouver un paquet individuel moins cher au kilo que son jumeau format XXXL.
Pour faire le bon choix, ayez là encore le réflexe du prix au kilo. Comparez le tarif par kilo des différents formats, en vous aidant des étiquettes prix. Dans certains cas, vous réaliserez qu’il est plus rentable d’acheter plusieurs petits paquets qu’un gros !
Cela ne vaut toutefois que pour les produits que vous êtes sûrs de consommer rapidement. Car le risque avec les très grands conditionnements est aussi de voir une partie du contenu finir à la poubelle… Là encore, votre meilleur allié sera votre carnet de consommation, qui vous aidera à jauger au mieux vos besoins.
Vous l’aurez compris : pour ne pas se faire avoir par les fausses promos, mieux vaut rester vigilant et mobile. N’hésitez pas à comparer les prix, à traquer les meilleures offres en combinant les bons de réduction avec les promotions en magasin, et surtout, ne craquez que pour les produits que vous consommez réellement. C’est à ce prix que vous pourrez boucler sereinement vos fins de mois !
Conclusion
Et voilà, vous avez toutes les cartes en main pour devenir un véritable pro des courses éco-responsables ! Avec un peu de méthode et les bons réflexes, vous réduirez votre budget alimentation sans effort. Mieux, vous (re)découvrirez le plaisir de remplir votre caddie sans culpabiliser, en faisant des choix aussi bons pour votre santé que pour la planète. Une démarche doublement gratifiante !
Alors si vous aussi, vous en avez assez de courir après les promos et de jeter de la nourriture, lancez-vous sans attendre. Chaque semaine, challengez-vous pour mettre en pratique un nouveau conseil. Vous verrez, chasser le gaspi deviendra vite un jeu d’enfant… et même un mode de vie ! Fini le stress des courses, bonjour les économies et la sérénité. C’est tout le mal que je vous souhaite !
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